1920.00.00.Recueil des informations de janvier à décembre

Ce recueil recense chronologiquement les données collectées sur l'année citée en référence, dans :

  • les copies de lettres à la presse1,
  • les doubles du courrier reçu par le siège, à Paris, entre 1919 et 19212,
  • les courriers, notes, rapports, circulaires, accords, traités... (originaux ou duplicatas) émanant de la direction générale de la Maison, des départements maritimes et combustibles, des chantiers de constructions navales du Trait, ainsi que des succursales françaises et étrangères. Les dossiers d'où proviennent ces pièces ont été classés "tels quels" par les services qui les ont produits. Répertoriés par objet et non par date, ils couvrent – ensemble – une période allant de la fin du 19ème siècle au début des années 1960. Une notice située à la fin du présent article, reproduit le descriptif qui est fait des archives les plus significatives sur les bordereaux d'inventaire,
  • les synthèses réalisées par la Maison et notamment :
    • "Historique de la succursale de Newcastle (1848-1948)", classé en 1948
    • "Historique de la succursale de Port-Saïd, relations avec l'Égypte (1869-1948)", daté du 16 juin 1948.

A ces informations s'ajoutent celles provenant :

  • des services administratifs : état civil, tribunal de commerce...
  • des annuaires et minutes notariales...
  • de la presse, des revues professionnelles et ouvrages d'histoire...

Les documents d'où sont extraits les renseignements rassemblés dans ce recueil sont consultables à partir de ce fichier en cliquant sur l'intitulé de chacun d'eux (en bleu + soulignement).

1+2 Ces corpus n'ont pas fait l'objet d'un dépouillement exhaustif comme cela a été le cas pour les chronos de correspondance datant du 19ème siècle.

 

Inventaire chronologique des archives numérisées
et des renseignements ou extraits collectés dans les copies de lettres et les dossiers

 

[Documents pluriannuels]
1911-1943
De Worms & Cie Le Havre : Charbons. Amortissements (dont usine d'agglomération de Graville). Relevés annuels et correspondance échangée avec Paris sur le suivi des écritures comptables.
1er semestre 1916-2ème semestre 1923
Registre des chartes-parties.
1919-1927
Bilans annuels de la Maison.

[Informations sans dates précises]
De Worms & Cie Cardiff : [Extrait d'une note datée du 2 juillet 1948.] La succursale « commença son activité à "Bute Crescent" et transféra son siège au bureau actuel - Crichton House - aux environs de 1920 ».
De Roger Mennevée : [Extrait de l'article intitulé "La Banque Worms - Histoire générale - Deuxième partie - Hypolite Worms (2e du nom)", paru dans Les Documents de l'agence indépendante d'informations internationales en février 1949.] « En 1920, Hypolite Worms fut élu membre du conseil d'administration et du comité exécutif du Comité central des armateurs de France et il en était nommé trésorier-adjoint. Il était alors domicilié 47, avenue Hoche à Paris. »

[Vers le début 1920]
De Roland Gada : [Extrait d'un témoignage daté du 14 décembre 1977, au sujet de la création d'une agence à Varsovie que Roland Gada ne date pas précisément mais qui figure sur la liste des succursales sur un document de février 1920.] « L'attaché naval de France en Russie, le commandant Galland, accompagna M. [Noullens], l'ex-ambassadeur de France en Russie, lorsque celui-ci fut envoyé en Pologne comme haut-commissaire de la France. Tous deux pensaient que la nouvelle affectation de M. [Noullens] lui conférerait une influence qui ne pourrait être que profitable au commandant Galland nommé directeur général de notre Maison en Pologne. Une succursale fut créée à Varsovie, qui devait drainer en Pologne du fret pour la ligne de Dantzig mais, à part le bois dont les cargaisons se traitaient à Dantzig même, il y avait peu de possibilités de fret en Pologne et l'action de la succursale de Varsovie n'eut pas pour notre ligne de Baltique, tous les résultats espérés... La succursale de Varsovie qui représentait les compagnies françaises de navigation et vendait des billets de passage, se trouvant débordée, demanda quelqu'un de compétent pour l'aider. On lui envoya M. Jean Brieule qui s'y installa d'abord comme chef du bureau des passages puis comme directeur, deux ans plus tard. »

Janvier 1920
De Worms & Cie : Circulaire. G. Crétin, précédemment directeur de la maison de Brest, est nommé, à Dunkerque, en remplacement d'André Fortin, qui prend la direction de la succursale de Bordeaux.

1er janvier 1920 depuis le 22 décembre 1919
Du commandant Joseph, Robert Denis : Rapport d'inspection sur Worms & Cie Hambourg. Cette note expose les premiers éléments de l'enquête que R. Denis va mener lors d'un second séjour entre le 14 janvier et le 2 février 1920.

14 janvier 1920 aux envions du 2 février 1920
Du commandant Joseph, Robert Denis : Volumineux rapport d'inspection sur Worms & Cie Hambourg relativement à des incidents survenus entre le personnel de la succursale et, M. Bepoix, délégué des Transports maritimes et de la Marine marchande. Depuis une date non précisée (peut-être le 1er mai 1919 auquel il est fait allusion dans le rapport) et jusqu'au début janvier 1920, semble-t-il, la Maison Worms a représenté le ministère du Ravitaillement, à Hambourg, en la personne du lieutenant Auvray, qui en fut le délégué. Celui-ci recruta, pour le seconder, les Schuback père et fils qui furent débauchés après la suppression de la commission du Ravitaillement et réclament des indemnités. Stagiaire chez Worms & Cie, Auvray, délivré de sa mission officielle, ambitionna de prendre la tête de la succursale. Espoir déçu : la fonction échut à M. Fisson, dont R. Denis brosse un portrait peu avantageux. Le nouveau directeur ne parvient pas, notamment, à prendre l'ascendant sur un de ses adjoints, M. Boillon, personnage ambivalent et arriviste, dont le manque de déférence et l'indépendance suscitent des difficultés tant à l'intérieur de la succursale qu'à l'extérieur, avec M. Bepoix, entre autres. En effet, le délégué des Transports maritimes fut hébergé dans les bureaux de Worms & Cie Hambourg jusqu'en fin décembre 1919. Cette cohabitation suscita nombre d'incidents que le déménagement de Bepoix n'a toujours pas réglés : adressage du courrier, suivi des ordres... Les conflits de pouvoirs sont amplifiés par les rivalités entre les ministères français et par l'hostilité ambiante envers la Maison suscitée par les concurrents allemands et français (Silvain). « Personne n'ignorait aux Transports maritimes, note R. Denis, que le Ravitaillement était représenté par M. Auvray ; beaucoup en étaient navrés et tous nos ennemis se sont trouvés d'accord pour lancer [que] « c'était insensé de voir une maison de commerce représenter un ministère ! » D'une pierre on faisait coup double et l'on tapait sur Worms aussi bien que sur l'autre ennemi de la rue de Castiglione, qu'a toujours été le Ravitaillement. » Ces dissensions s'illustrent par les incidents relatifs au chargement du "Vega". Selon les ordres des Transports maritimes, ce navire devait être dirigé sur la France avec une cargaison de sucre tchécoslovaque dont la Maison Worms assurait le transit (contrat passé avec le Ravitaillement pour un total de 5.000 tonnes). Or, une partie des sucres disponibles étant destinée à "Suzanne et Marie" et à "Château Latour", la Maison dût s'arranger pour donner satisfaction aux Transports maritimes, ce qui n'alla pas sans anicroches. Question plus épineuse : le prélèvement de 250.000 marks, effectué par M. Boillon sur le compte des Transports maritimes. « La succursale de Hambourg, explique R. Denis à ce propos, a été victime d'un tour bien allemand. À peine l'enregistrement nous avait-il averti que la déclaration de la Maison n'était pas faite dans les formes réglementaires, que cette administration, connaissant l'impossibilité dans laquelle se trouvait alors notre directeur d'effectuer des prélèvements sur les fonds alors à sa disposition à la Deutsche Bank, nous sommait d'avoir à payer l'impôt de 7% sur les frais d'entrée de nos deux derniers navires. Il avait été nécessaire pour parer à ce coup de prendre des mesures rapides, mesures que le ministère avait jugé sans grande importance n'ayant aucun doute sur la solvabilité de la Maison Worms. » Reste cependant l'affirmation de M. Bepoix, à savoir qu'aux termes d'un certificat qu'il a remis à M. Auvray, M. Boillon a disposé de cet argent pour des opérations de bourse. Pour mettre fin à ces désordres, R. Denis propose de rapatrier M. Boillon au Havre et de désigner un sous-directeur capable "d'étayer" M. Fisson et de combler ses défauts. Il suggère de nommer M. Kenittel, dont il loue les grandes qualités.

30 janvier 1920
De M. Meunier, Société courtière de la chocolaterie française, Paris : Commande de charbon.

Février 1920
De Ed. de Fleurac : Rapport sur l'agence de Beyrouth de mars 1919 à janvier 1920. Implantation. Fonctionnement. Contrats...
De Worms & Cie : Circulaire des Services maritimes. Ouverture d'une succursale à Lille, 72, boulevard de la Liberté, en vue de « procurer à la clientèle des facilités plus grandes pour les opérations qu'elle aura à effectuer dans les trois ports par lesquels transite naturellement la presque totalité du trafic de la région lilloise : Dunkerque, Boulogne et Anvers, où la Maison est établie, et que desservent ses lignes de navigation. » La direction est confiée à M. le commandant Bidart. Les mentions données en en-tête indiquent, en plus des dessertes ‘'historiques', l'existence de services maritimes sur les Pays-Bas, la Tchécoslovaquie, la Pologne et la Russie. Outre les anciennes succursales, sont citées dans la liste des établissements à vocation maritime ceux de Dunkerque, Boulogne, Caen, Brest, Audierne, Concarneau, Douarnenez, Saint-Nazaire, Nantes, Rochefort, Toulon, Strasbourg, Lyon, Lille, Angoulême, Toulouse, Rotterdam, Prague, Dantzig, Varsovie, Riga, Arkhangelsk, Le Caire et Beyrouth. Worms & Cie se présente également comme agent central de Cosmopolitan Line (U.S. et Europe) ; Steven Line (U.K. et continent) ; Det Bergenske Dampskibsselskab (côte ouest de Norvège) ; Société anonyme de Varsovie pour le commerce et la navigation. Les Services maritimes de la Maison sont installés au 43, bd Haussmann, à Paris.
De Worms & Cie : Circulaire des Services maritimes. Ouverture d'une succursale à Lyon, 1, Cours de la Liberté « dans le but de développer l'importance des affaires dans toute la région lyonnaise. » Jules Chevallet en assure la direction.
De Worms & Cie : Circulaire des Services maritimes. Ouverture d'une succursale à Toulouse, 27, rue de Metz afin de « donner aux négociants et aux industriels de la région des facilités plus grandes pour les opérations maritimes qu'ils ont à accomplir notamment dans le port de Bordeaux. Gaston Richard en est nommé directeur.
De Worms & Cie : Circulaire des Services maritimes. Ouverture d'une succursale à Strasbourg dans le but de « donner aux négociants et aux industriels de l'Est de la France et, en particulier, à ceux des provinces reconquises, des facilités plus grandes pour les opérations maritimes qu'ils ont à accomplir, notamment dans les ports de Dunkerque, d'Anvers, de Rotterdam et du Havre. »

19 février 1920
A Worms & Cie Prague : Ouverture de la succursale. Formalités.
De Roland Gada : [Extrait d'un témoignage daté du 14 décembre 1977.] « MM. Worms & Cie comptaient, après l'échec d'Arkhangelsk, m'envoyer à Dantzig pour l'organisation de la nouvelle succursale mais les lenteurs de mon voyage [de retour] firent qu'ils confièrent cette mission à M. Longue. Je reçus celle d'installer à Prague une agence dont le rôle serait de rechercher en Europe centrale du fret pour notre ligne de Hambourg. On redoutait en effet, au lendemain de la guerre, que les chargeurs allemands soient peu enclins à donner leur fret à une ligne française alors que la Tchécoslovaquie nous recevrait à bras ouverts... Le transport international était dans cette partie de l'Europe entre les mains d'importantes maisons de transit dont les ramifications s'étendaient aux principaux ports et aux centres industriels d'Allemagne et des pays voisins. Les agences de l'intérieur recrutaient et acheminaient le fret sur celles des ports (Hambourg en la circonstance) dont le rôle était de traiter avec les armements pour la partie maritime du transport. Ces "spéditeurs" virent d'un très mauvais oeil la maison organiser en Tchécoslovaquie un service dont le but était de les court-circuiter... Worms Prague avait la représentation des principales compagnies françaises de navigation et nous avions dû créer un service "passages" pour la vente de billets de voyage. Celui-ci fut, pendant les premières années, très actif et rémunérateur. Les facilités de trésorerie qu'il nous apporta nous encouragèrent à poursuivre, malgré ce qu'ils avaient d'ingrat, nos efforts dans le domaine transit. »

Mars 1920
De Roger Mennevée : [Extrait de l'article intitulé "La Banque Worms - Histoire générale - Suite - Chapitre spécial - Les récentes modifications de Worms et Cie", paru dans Les Documents de l'agence indépendante d'informations internationales en mars 1950.] « La maison Worms et Cie a été, en mars 1920, parmi les fondateurs de la Chambre de commerce franco-polonaise, qui fut installée, par la suite, rue Godot de Mauroy à Paris - elle figurait sur la liste des membres donateurs, et était représentée au conseil d'administration par le commandant J. R. Denis, son secrétaire général. »

1er mars 1920
A P. Perdrieux & Fils, Paris : « En dehors peut-être de quelques destinations britanniques, l'exportation du charbon est interdite. Nous ne savons pas combien cet embargo durera de temps, il existe aussi bien à Cardiff qu'à Newcastle. Quant à l'Écosse, ce district est déjà fermé depuis plusieurs mois. »
A Worms & Cie Bordeaux : « L'exportation d'Angleterre est tout à fait arrêtée. »

3 mars 1920
A Gaston Meunier, président de la Société courtière de la chocolaterie française, Paris : « Nous vous avons tenus au courant des difficultés que nous rencontrions du fait de la grève qui avait éclaté à Rouen. Depuis le 28 février, les autorités britanniques ont réglementé les expéditions de Cardiff et ont décidé qu'après complète satisfaction donnée aux besoins de l'intérieur, tout le charbon disponible dans ce district serait affecté par priorité de la façon suivante :
1. Pour le chargement des vapeurs engagés dans la navigation côtière.
2. Pour les soutes à fournir aux vapeurs battant pavillon britannique et relevant sur lest.
3. Pour le ravitaillement des dépôts de soutes britanniques. »

Avril 1920
De Worms & Cie : Circulaire des Services maritimes. « Dans le but de faciliter les relations de nos lignes de navigation avec la région d'Angoulême, nous avons décidé d'ajouter à notre Maison de cette ville un département spécial pour les opérations maritimes... M. Ladoire, qui est depuis plusieurs années à la tête de notre maison d'Angoulême, dirigera également ce nouveau département. »

1 avril 1920
A la Compagnie générale des travaux publics & privés : Facture des travaux au Trait

8 avril 1920
Des ACSM : Aux Établissements Saintrapt & Brice. Note

15 avril 1920
Des Établissements Sainrapt & Brice : A Worms & Cie. Note

Mai 1920
D'Henri Nitot : [Extrait d'un témoignage recueilli le 28 avril 1977.] Entrée d'Henri Nitot, en mai 1920, à la Maison Worms & Cie où il est d'abord attaché aux Services maritimes et chargé d'importantes missions auprès des succursales étrangères, puis appelé aux Ateliers et Chantiers de la Seine-Maritime comme secrétaire général.

1 mai 1920
De la Compagnie générale des travaux publics & privés : A Worms & Cie. Note ACSM

6 mai 1920
De Francis Ley, Banque Worms : [Extrait d'un historique sur la Banque Worms (1928-1978), daté du 10 avril 1978.] Ateliers et Chantiers de la Seine-Maritime, Le Trait. « La première quille fut posée dans la cale n°3, le 6 mai 1920. »

7 mai 1920
Aux ACSM : Note

19 mai 1920
De la direction générale des Services charbons : Constitution par décret du Comité consultatif des charbons (ministère des Travaux publics) ; Hypolite Worms est nommé en son sein. Groupement charbonnier des industries. Commission d'adresse et bonification de 2% pour non-pesage.

31 mai 1920
De la Compagnie générale des travaux publics & privés : A Worms & Cie. Note ACSM

16 juin 1920
De Roger Mennevée : [Extrait de l'article intitulé "La Banque Worms - Histoire générale - Les débuts de M. Hypolite Worms (2ème du nom)", paru dans Les Documents de l'agence indépendante d'informations internationales en mai 1948.] Michel Goudchaux est nommé par décret du 16 juin 1920 chevalier de la Légion d'honneur au titre de la guerre de 1914-1918 comme capitaine attaché à l'état-major du 6ème corps d'armée.

Juillet 1920
De Worms & Cie : Circulaire. Désignation de Robert Delteil, à la direction de Worms & Cie Marseille, en remplacement d'Émile Mallen, nommé directeur honoraire.

8 juillet 1920
De Worms & Cie Le Havre : « Nous n'avons déposé aucune marque de fabrique pour les briquettes portant notre empreinte W.-H., mais par contre nous avons pris la marque de fabrique W pour les boulets qui devaient sortir de la presse construite chez MM. Sahut & Co.nreur, à Raismes, et qui a été enlevée par les Allemands lors de l'occupation. Nous ne sommes pas certains que nous maintiendrons pour la nouvelle presse de remplacement, en cours de construction, ladite marque W. Les constructeurs n'ont jamais pu garantir une fabrication exempte d'ennuis avec ce dispositif absolument spécial, qui en 1913 n'avait été essayé que par une Maison de Marseille avec la lettre M... C'est le 26 juin 1914, à 11 heures du matin, ainsi que le mentionne la minute du greffe du Tribunal de commerce du Havre, que l'écrivain a déposé ladite marque... enregistrée par le greffe sous le n°3692, qui nous en a délivré récépissé. »

12 juillet 1920
De Worms & Cie Le Havre : Registre du commerce. Dépôt des marques.

20 septembre 1920
De Roger Mennevée : [Extrait de l'article intitulé "La Banque Worms - Histoire générale - Les débuts de M. Hypolite Worms (2ème du nom)", paru dans Les Documents de l'agence indépendante d'informations internationales en mai 1948.] M. Majoux, né le 7 février 1867 à Villeron (Vaucluse), est nommé chevalier de la Légion d'honneur par décret du 20 septembre 1920 (Journal officiel du 23) au titre du ministère de la Marine, comme armateur, directeur de la Maison Worms et Cie, domicilié au château de Retival à Caudebec-en-Caux et réunissant "32 années de services civils et militaires".

29 septembre 1920
De Worms & Cie : Acte déposé au registre du commerce sous le n°24.842. Objet social, adresse du siège et des succursales en France et à l'étranger, nature de la société, marques déposées. Succursales ou agences à Dunkerque, Boulogne, Dieppe, Rouen, Le Havre, Caen, Brest, Nantes, Rochefort, Bordeaux, Bayonne, Marseille, Lyon, Strasbourg, Toulouse, Saint-Nazaire, Lille, Angoulême, Le Trait, Toulon, Cardiff, Newcastle, Grimsby, Hull, Goole, Anvers, Rotterdam, Hambourg, Duisburg, Prague, Dantzig, Varsovie, Arkhangelsk, Alger, Port-Saïd, Suez, Beyrouth, Le Caire, Alexandrie, Pasajes, soit 40 établissements. Marque de fabrique : W.
De Roger Mennevée : [Extrait de l'article intitulé "La Banque Worms - Histoire générale - De 1927 à la Libération", paru dans Les Documents de l'agence indépendante d'informations internationales en juin 1948.] Extrait de la copie des inscriptions portées au registre analytique sous le n°24842 au nom de la Société Worms et Compagnie dont le siège social est à Paris, 45, boulevard Haussmann à Paris, le 29 septembre 1920. Associés-gérants : Worms Hypolite, né le 26 mai 1889 à Paris, Français ; Goudchaux, Michel Joseph, né le 5 mars 1880 à Paris, Français ; Majoux Georges Édouard, né le 7 février 1867, à Villeron (Vaucluse), Français. Succursales en France : 12, quai des Américains à Dunkerque ; 22, Grande Rue à Boulogne sur Mer ; 2, rue Blainville à Dieppe ; 2, rue Jeanne d'Arc à Rouen ; 138, boulevard de Strasbourg Le Havre ; quai Cafarelli à Caen ; quai de l'Ouest à Brest ;10, rue Mazagran à Nantes ; 112, rue Pierre Loti à Rochefort ; 7, allée des Chartrons à Bordeaux ; 8, allée Boufflers à Bayonne ; 22, rue Grignon à Marseille ; 1, cours de la Liberté à Lyon ; 1, rue du 22 novembre à Strasbourg ; 27, rue de Metz à Toulouse ; 45, rue du Croisic à Saint-Nazaire ; 72, boulevard de la Liberté à Lille ; 8, rampe ouest du Port à Angoulême ; Ateliers et Chantiers maritimes à Le Trait par Duclair (Seine inférieure) ; Quai Cronstadt à Toulon. Succursales en Angleterre : 11/12 Mount Stuart Square à Cardiff - Bank Chambers Gandhill à Hewcastle - Royal Dock Chambers à Goole. Succursales Nord de l'Europe : 2, quai Ortelins à Anvers - 31 Westerkade à Rotterdam - Hambourg - Mercataham Königstrasse à Duisbourg-Ruhrort - 50 Stepanska Ulice à Prague - 17 Langemarkt à Dantzig - 10 Krolewski à Varsovie - 34 Pamorskaia à Arkhangelsk. Succursales en Méditerranée : Alger, 6, rue Jules Ferry - Port-Saïd, 3 Sharia Sultan Osman - Suez, avenue Hélène - Beyrouth, immeuble Beadaoi - Le Caire, 12 Sharia Eloni - Alexandrie, 7, rue Rosette. Succursale en Espagne : Pasajes, rue 4a Via n°5.

29 octobre 1920
De Worms - ACSM : Note Création d'équipements de la Société de la Mailleraye

Novembre 1920
De Roger Mennevée : [Extrait de l'article intitulé "La Banque Worms - Histoire générale - Les débuts de M. Hypolite Worms (2ème du nom)", paru dans Les Documents de l'agence indépendante d'informations internationales en mai 1948.] En novembre 1920, Michel Goudchaux souscrit « 425 actions de 500 F à l'augmentation de capital de la Banque nationale de Crédit, presque au lendemain de l'entrée au conseil de cet établissement de M. Paul Leroy... M. Leroy devait souscrire 241 actions nouvelles de 500 F de la BNC lors de l'augmentation de capital de celle-ci effectuée en novembre 1920. »

17 novembre 1920
A la Société gazière d'achats en commun des charbons, Paris : « Nous vous soumettons les propositions suivantes, pour couvrir la rémunération de nos succursales de Duisburg et de Rotterdam ou Anvers, suivant que votre charbon passera par l'un des deux ports. »

19 novembre 1920
A Joseph Robert Denis : Créances Margaux et Suzanne-et-Marie

27 novembre 1920
A  A. Lebreton : Marché avec Veuve Hottat & Fils - ACSM

29 novembre 1920
De Hypolite Worms & Cie : Lancement du Capitaine-Bonelli, Discours

21 décembre 1920
De Roger Mennevée : [Extrait de l'article intitulé "La Banque Worms - Histoire générale - Deuxième partie - Hypolite Worms (2e du nom)", paru dans Les Documents de l'agence indépendante d'informations internationales en février 1949.] « A la suite de la mort de Mme Mary Lucy Worms, veuve de M. Errington-Josse, survenue le 6 mars 1919, Hypolite Worms rachetait par acte du 21 décembre 1920 la participation de celle-ci dans la société Worms et Cie - soit 59.800 F, ce qui portait le montant des droits de M. Worms à 384.800 F. »
De Roger Mennevée : [Extrait de l'article intitulé "La Banque Worms - Histoire générale - Troisième partie - Filiales et participations", paru dans Les Documents de l'agence indépendante d'informations internationales en mars 1949.] Conséquence de l'invasion de la Pologne par les armées bolcheviques, le Consortium économique agricole et forestier de la Russie et de la Pologne, au conseil d'administration duquel siégeait Hypolite Worms, fut dissous par décision de l'assemblée générale du 21 décembre 1920, publiée dans la Gazette du Palais du 9 janvier 1921.

24 décembre 1920
Nouvel acte social, dressé par Me Théret, notaire à Paris. Exposé. Décès d'Henri Goudchaux et transmission de sa part dans le capital (800.000 F) à Michel Goudchaux et à Mme Jean Labbé qui est associée commanditaire depuis le 25 avril 1916.
De Roger Mennevée : [Extrait de l'article intitulé "La Banque Worms - Histoire générale - Les débuts de M. Hypolite Worms (2ème du nom)", paru dans Les Documents de l'agence indépendante d'informations internationales en mai 1948.] La société Worms et Cie venant à expiration le 31 décembre 1920, les associés décidèrent de la proroger pour une nouvelle période de cinq ans. Avec le consentement de ses coassociés, Hypolite Worms remboursa de ses deniers personnels aux héritiers de sa demi-soeur, Marie Lucy Errington Josse, décédée le 6 mars 1919, tous les droits de ces derniers dans le capital social, de telle sorte que ces héritiers cessèrent de faire partie de la société ce même jour. D'autre part, Mme veuve Delavigne et ses enfants cédèrent à MM. Hypolite Worms et Majoux, la somme de 150.000 francs à prendre sur leur part de commandite, à raison de 59.800 F pour M. Majoux et de 90.200 F pour M. Worms. De leur côté, M. et Mme Labbé cédèrent à M. Majoux une somme de 50.000 F à prendre dans les droits de Mme Labbé. Au même M. Majoux, Mme Lucien Worms cédait 46.200 F, Mme Leroy et Mme Razsovich chacune 22.000 F de leurs droits, M. Majoux recevant ainsi une nouvelle participation de 90.200 F. Par ailleurs, encore, M. Michel Goudchaux, cédait 125.000 F de ses droits à M. Hypolite Worms. C'est alors que, par acte du même jour 24 décembre 1920, les associés de Worms et Cie, savoir :
M. Hypolite Worms, négociant armateur, 47, avenue Hoche à Paris,
M. Michel Joseph Goudchaux, négociant armateur, chevalier de la Légion d'honneur, demeurant à Paris, 31, avenue Pierre 1er de Serbie (ex rue Pierre-Charron),
M. Georges Édouard Majoux, négociant armateur, chevalier de la Légion d'honneur, demeurant au Havre, rue de Sainte-Adresse, 45,
Mme Emma Louise Worms, veuve de M. Louis Emmanuel Arthur Delavigne, propriétaire, demeurant à Paris, 45, boulevard Haussmann,
Mme Virginie Adèle Houcke, veuve de M. Lucien Worms, sans profession, demeurant à Paris, 22, avenue de la Grande Armée,
Mme Suzanne René Marguerite Worms, épouse de M. Paul René Leroy, commandeur de la Légion d'honneur, sous-directeur au ministère de l'Agriculture, demeurant à Paris n°1, avenue du Président-Wilson (ex-avenue du Trocadéro),
Mme Marie Virginie Lucienne Worms, épouse de M. Marcel Razsovich, sans profession, demeurant à Pau, 4, boulevard des Pyrénées,
et Mme Marie Goudchaux, épouse de M. Hippolyte Jean Labbé, avocat au conseil d'État et à la cour de cassation, officier de la Légion d'honneur, demeurant à Paris, avenue George V n°21, décidèrent, en même temps que la prorogation de la société, diverses modifications aux statuts.
La société serait à partir du 1er janvier 1921, en nom collectif à l'égard de : Hypolite Worms - qui était le chef de la Maison - Michel Goudchaux et M. Majoux, et en commandite seulement à l'égard des autres associés. La signature sociale appartiendrait aux associés en nom collectif; lorsqu'une décision serait à prendre entre les gérants, elle devait l'être à la majorité des voix, celle d'Hypolite Worms étant prépondérante. Le capital social, toujours de 4 millions de francs, serait composé de l'actif de la société Worms et Cie, sous déduction des réserves et plus values partagées entre les associés. Cet actif comprenait notamment la propriété entière des steamers : "Bidassoa", "Cantenac", "Château-Latour", "Château-Palmer", "Fronsac", "Haut-Brion", "Hypolite-Worms", "Listrac", "Margaux", "Pessac", "Pomerol", "Séphora-Worms", "Suzanne-et-Marie", tous du port du Havre et affectés aux services maritimes de la société. Ce capital appartenait à :

Mme Delavigne et ses enfants

pour 24/80 ou

1.200.000 F

 

Mme Lucien Worms

640.000

 

 

Mme Leroy

155.000

 

 

Mme Razsovich

155.000

 

 

pour 19/80 ou

950.000 F

M. Hypolite Worms

pour 12/80 ou

600.000 F

M. Goudchaux

pour 12/80 ou

600.000 F

Mme Labbé

pour 7/80 ou

350.000 F

M. Majoux

pour 6/80 ou

300.000 F

 

 

 

 

 

La société, dont le siège social était toujours 45, boulevard Haussmann à Paris, avait, à l'époque, des comptoirs à Dunkerque, Boulogne, Dieppe, Le Havre, Rouen, Le Trait, Caen, Concarneau, Audierne, Douarnenez, Brest, Saint-Nazaire, Nantes, Rochefort, Angoulême, Lille, Strasbourg, Lyon, Toulouse, Bordeaux, Bayonne, Marseille et Toulon, Alger, à Pasajes (Espagne) Cardiff, Newcastle, Great Grimsby, Goole et Hull (Angleterre), Port-Saïd, Suez, Le Caire et Alexandrie (Égypte), Beyrouth (Syrie), Anvers (Belgique), Rotterdam (Hollande), Duisburg et Hambourg (Allemagne), Dantzig et Varsovie (Pologne), Prague (Tchécoslovaquie ) et Arkhangelsk (Russie). En cas de décès des associés commanditaires, leurs héritiers ou représentants prenaient simplement la suite de leurs auteurs, par contre, en cas de décès d'un des associés ayant la signature sociale, il était convenu : s'il s'agissait du décès d'Hypolite Worms ou de Michel Goudchaux, les héritiers de l'associé décédé ne seraient que simples commanditaires ; s'il s'agissait du décès de M. Majoux, ses héritiers ou représentants seraient exclus de la société; leurs droits s'éteindraient le 31 décembre de la même année, et leur seraient remboursés. Dans le délai de 2 mois à compter du décès d'un associé ayant la signature, même si un seul associé le demandait, les associés survivants devraient se réunir pour décider : 1°- s'il y avait lieu de modifier la société par l'adjonction d'un nouvel associé, d'en changer la forme ou de liquider ; 2°- quelles seraient les modifications à apporter au pacte social par suite de l'introduction d'un nouvel associé. Les décisions seraient prises à la majorité des voix, les héritiers ou représentants de chaque associé ne représentant qu'une voix, de même que Mmes Worms, Leroy et Razsovich qui ne pourraient avoir ensemble qu'une seule voix, en cas de partage dans leur groupe, la voix de Mme Worms devait être prépondérante. Hypolite Worms et Michel Goudchaux, auraient la faculté à la fin de chaque exercice social, ou à l'expiration de la société, d'acquérir les droits des associés commanditaires, à charge du remboursement du montant nominal du capital et dans les réserves augmente d'une somme égale au montant de leur part dans ledit capital, mais moyennant un préavis de 6 mois.

27 décembre 1920
De Worms & Cie Lyon : « Nos bureaux du 1, cours de la Liberté, sont situés dans le troisième arrondissement municipal... »

Conteneur

B-A

Informations portées sur les bordereaux d'archivage
(B-A = boîte archives)

W/164

817

Worms & Cie Alger- Opérations courantes de la succursale et notes sur le s/s "Alsace".

W/165

819

Services maritimes- Pays baltes. Notes au sujet des relations avec la Lettonie.

W/186

923

Armement - Offres d'achat et vente de navires (1920-1952- Correspondance du CCAF au sujet des navires ex-allemands remis au gouvernement français ou achetés au gouvernement anglais. Vente d'unités de la flotte d'État. Offres de navires pour la ligne Brest-Douarnenez.

W/197

978

Beyrouth - Alexandrette - Alexandrie - Mersina - Port Soudan - Périm (1918-1928)

-  De Worms & Cie Beyrouth : Dépôt de charbon de soute, les Messageries gèrent les « affrétés de la guerre ». Importation pour l'intérieur du pays : « Il ne peut être question d'envoyer de Port-Saïd du ‘'Welsh' car, si les autorités britanniques le savaient, elles essaieraient probablement de nous punir en nous empêchant d'exporter de Cardiff. » Du charbon américain est expédié sur place.

W/209

1040

Services charbons : Charbons étrangers (1919-1929)- Charbons allemands (1919-1929) : Documentation. Régime administratif. Arrêté ministériel, comptabilité de l'Office des houillères sinistrées et des chemins de fer de l'État (18 décembre 1920). - Contrats (1920-1926) avec la clientèle de la Maison (contrôle, manutention, transport...). Accords négociés par Worms & Cie Anvers et Rotterdam avec des sociétés de manutention et de transport. Réception à Duisburg ; chargements à Duisburg, Rotterdam et Anvers. Union gazière : Accord sur expéditions organisées par les succursales de Duisburg, Rotterdam et Anvers. Accords avec l'Office des charbons des secteurs électriques. Contrats avec la Société du gaz de Paris (1920-1925).- Charbons américains (1919-1920) : Amorce d'une crise charbonnière aux USA. - Documentation. Arrêté ministériel (13 janvier 1920) modifiant celui du 20 septembre 1919 sur les prix de vente de ces charbons, arrêté ministériel arrêté ministériel instituant une taxe sur les charbons (1er juillet 1920).- Charbons espagnols (1919-1926) : Rapport d'enquête de Worms & Cie Bordeaux sur le bassin des Asturies.

W/210

1043

Services charbons - contrats divers (1913-1931)- Transit maritime et manutention par Worms & Cie Alger, Bayonne, Marseille et Bordeaux (1917-1920).- De Worms & Cie Cardiff : Contrats de remorquage (1918-1931). Depuis 1914 environ, Worms & Cie, Chargeurs réunis, Havraise, Messageries... et selon les années, Sud Atlantique, Maurel Frères, Armateurs français...sont liés par contrat à la Maison J. Davies qui assure les opérations de remorquage dans le port de Cardiff.

W/210

1047

Service charbons - Succursales de Rochefort, Limoges, Bayonne, Pasajes, Strasbourg (1901-1928)- Worms & Cie Rochefort : Affaire Chauvin : Indemnités d'expropriation. Installation d'un magasin.- Achat d'une grue électrique.

W/214

1063

Direction générale des Services charbons : Réglementation française- Régime des charbons à partir du 1er janvier 1920.- [Voir infra 19 mai 1920.]- Organisation des services administratifs et organes d'achat et de distribution.- Taxation et compensation des frets de charbons : Licences de navigation et tarifs des frets, prix des charbons à l'importation et compensation des frets, circulaires du Comité central des armateurs de France.- Bureau national des charbons (BNC) : Circulaires et notes.

W/214

1064

Direction générale des Services charbons : Paris - industrie - marchés (1903-1921)- Compagnie du Boléo : Approvisionnement de son usine de Santa Rosalia au Mexique (1915-1921).

W/214

1065

Direction générale des Services charbons - Paris - Contrats de vente de charbons (1907-1921)- Suspension des exportations anglaises : La correspondance rend compte des problèmes posés par la politique de restrictions pratiquée par l'Angleterre en matière d'exportation. Une liste de "prioritaires" à qui les autorités accordent le droit de chargement est établie. « Il est absolument impossible de livrer du charbon d'Angleterre. » « L'exportation du charbon est interdite. » Embargo.- Compagnie des chemins de fer andalous, 4, rue de Rome, Paris (1907-1920) : 48.000 tonnes. Paiement en livres sur Londres ou en franc sur Paris.- Compagnie universelle du canal maritime de Suez : Même marché qu'en 1907+ briquettes Crown.- Suite des contrats de 1919 : Chemins de fer andalous, Groupement charbonnier de la Chambre de commerce de Marseille, Groupement charbonnier industriel, France et Étranger, Papeteries du Marais et de Sainte-Marie, Compagnie générale du gaz pour la France et l'Étranger, Schneider & Cie.- Groupement charbonnier des chocolatiers parisiens : 25.000 à 40.000 tonnes par an. Tout venant Cardiff expédié au Havre, Rouen ou Dieppe, réexpédié sur Paris par péniches ou wagons. Impact des grèves sur les surestaries. Société courtière de la chocolaterie française, groupement formé en 1920 entre une douzaine d'entreprises.- ministère des Colonies : 860 tonnes de briquettes Crown à expédier de Cardiff.- Lebon & Cie : Environ 1.000 tonnes par trimestre de Durham, destinée à l'usine à gaz de Port-Saïd. Reprise des relations commerciales qui avaient cessé depuis 1915. Relations amicales entre le directeur de la Maison de Rotterdam et le fondé de pouvoirs de Lebon.- Worms & Cie Dieppe : Besoins mensuels évalués à 1.500 tonnes.- Worms & Cie Le Havre : La Basse Seine, environ 1.800 tonnes de briquettes par trimestre ; 5.000 tonnes pour l'Entreprise de dragage. La clientèle du Havre représente une consommation de 6.900 tonnes au 1er trimestre 1920 ; elle se répartit entre Marcel Bassot & Cie, Le Nickel, les Chantiers Normand, Caillard & Cie, Sturmlinger, Marissol & Cie, Legrette, la Chambre de commerce, Alphonse Tourres, le Groupement de Bolbec.

W/222

1103

Services charbons - Divers (1920-1941)- Note sur le charbon de Kaiping à embarquer au port de Chin-Wang-Tao.

W/222

1107

Worms & Cie Hambourg - Memel- Notes et rapport sur Memel (papier en-tête de Worms & Cie Dantzig) par le capitaine Robin.- [Voir supra 1er janvier 1920.]

 

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