1878.00.00.Recueil des informations de janvier à décembre

Ce recueil recense chronologiquement les données collectées sur l'année citée en référence. Il reprend notamment un important travail d'analyse effectué par la Maison Worms dans les chronos de correspondance – préalablement à la rédaction du livre Un Centenaire - 1848-1948 - Worms & Cie –, et plus particulièrement, en ce qui concerne l'année 1878, dans :

  • les copies de lettres à la presse du 1er décembre 1877 au 4 janvier 1878 ; du 4 janvier 1878 au 31 janvier 1878 ; du 31 janvier 1878 au 27 février 1878 ; du 28 février 1878 au 1er avril 1878 ; du 1er avril 1878 au 3 mai 1878 ; du 3 mai 1878 au 7 juin 1878 ; du 7 juin 1878 au 13 juillet 1878 ; du 15 juillet 1878 au 18 août 1878 ; du 17 août 1878 au 24 septembre 1878 ; du 24 septembre 1878 au 29 octobre 1878 ; du 29 octobre 1878 au 3 décembre 1878 et du 3 décembre 1878 au 3 janvier 1879,
  • et les doubles du courrier reçu par le siège, à Paris, entre 1875 et 1902.

Dans le cadre de cette étude, la correspondance sélectionnée pour son intérêt historique a été résumée ou reproduite en intégralité ou partiellement sur des fiches manuscrites, qui se comptent par centaines. Les lettres les plus significatives ont été dactylographiées. (Ces copies sont consultables à partir de ce fichier en cliquant sur leur intitulé – en bleu + soulignement.) Ces sources ont en outre été synthétisées et commentées dans les notes suivantes :

  • "Historique de la succursale de Newcastle (1848-1948)", classé en 1948
  • "Historique de la succursale d'Alger (1851-1892)", classé en 1948
  • "Historique de la succursale de Port-Saïd, relations avec l'Égypte (1869-1948)", daté du 16 juin 1948
  • "Historique de Worms & Cie – 2ème partie (1877-1911)", daté du 27 avril 1948

A ce corpus sont joints des extraits de documents originaux conservés par la Maison et des renseignements provenant notamment :

  • des services administratifs : état civil et tribunaux de commerce...
  • des annuaires et études notariales...
  • de la presse, des revues et ouvrages d'histoire...

Inventaire chronologique des archives numérisées
et des renseignements ou extraits collectés dans les copies de lettres et les dossiers

[Documents pluriannuels]
10 juillet 1871-10 février 1919
Registre des navires.

1877-1882
[Extrait d'un relevé du 12 juillet 1882 :] Vapeurs de M. Deppe venus à Bordeaux du 27 septembre 1877 jusqu'au 12 juillet 1882.

[Informations sans dates précises]

La Maison est alertée par suite des mesures prises par le gouvernement anglais et le transport des troupes indiennes en relation avec les complications politiques en Orient.
A [ ] : « Il reste entendu que nous continuerions à exploiter avec Deppe la ligne Bordeaux-Anvers pendant une période de 5 ans. »

2 janvier 1878
De M.  Breslauer, Londres : Au sujet de J. M.  Bofill & Hijo (Barcelone) et de Port-Said.

8 janvier 1878
De A.-G. Boyé & Cie, Sète : Réception du "Libra" chargé de 190 tonnes brai pour le P. L. M.  et attente du "Dagmar".

10 janvier 1878
Contrat de mariage entre Emma Louise Worms (fille d'Hypolite et Séphora Worms et veuve en premières noces de Léon Joseph Franchetti), et Louis Emmanuel Arthur Delavigne (né le 22 décembre 1831), ancien inspecteur général des services administratifs.
De la Banque française et italienne, Paris : Voilier "Chasseur", chargé à Newport de 501 tonnes de charbon [Abercarn Black] à destination de la Pointe-Simon, baie de Fort-de-France.

11 janvier 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : Concurrence Perlbach. « Nous croyons que vous feriez bien d'entretenir Messieurs Mallet et Deppe de vos idées... pour le cas où une réunion à Paris deviendrait nécessaire il ne serait pas mal que vous ayez auparavant échangé vos idées. De plus vous pourriez préparer un mémoire que vous apporteriez avec vous si la réunion a lieu. »
De A.-G. Boyé & Cie, Sète : "Dagmar", chargé de 550.18 tonnes brai à livrer au P. L. M.

14 janvier 1878
De J. M.  Bofill E Hiro, Barcelone : Courrier rédigé en espagnol. Affaires courantes.

23 janvier 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : Anvers-Hambourg. « Tous les sacrifices que nous avons faits seraient en pure perte si nous abandonnions la partie à Perlbach. Reste le second point : trouver un partage plus équitable de la perte. »

26 janvier 1878
A Campanile & Ricciardi, Naples : Recommande à leur bon accueil Monsieur et Madame Arthur Delavigne, fille de M.  H. Worms.

27 janvier 1878
Du ministère de la Marine et des Colonies, Paris : Adjudication pour fourniture de charbon nécessaire aux bâtiments de la Marine à Port-Saïd entre le 27 janvier 1878 et le 27 janvier 1879. Marché remporté par Hte Worms & Cie.

30 janvier 1878
De Me Baudrier, Paris : Notaire de Mme Léon Franchetti.

1er février 1878
De J. M.  Bofill E Hiro, Barcelone : Circulaire rédigé en espagnol. Avis de décès de Juan Manuel Bofill. La raison sociale est changée en Hijos de J. M.  Bofill.
De Bourgeois Frères & Cie Banquiers, Paris : Augmentation de capital. « Nous saisissons cette occasion pour vous remercier de la confiance que vous nous avez témoignée pendant nos longs rapports. »

4 février 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : Concurrence Perlbach. « Nous avons vu M.  Mallet samedi. Il espère beaucoup que Perlbach va se retirer ; jusqu'à présent, il n'y a rien de positif. Perlbach lui a constamment fait la concurrence entre Hambourg et le Havre et vice-versa, si demain Perlbach cessait de prendre des marchandises à Bordeaux il ne lui demanderait pas de cesser son service sur le Havre, la concurrence faite à Perlbach ne lui a été faite que pour l'empêcher de venir prendre du fret à Bordeaux, par conséquent le fret du Havre à Hambourg et vice-versa n'a aucune raison de venir participer dans les frais d'une concurrence qui ne le concerne pas. »
De Hijos de J. M.  Bofill, Barcelone : Courrier rédigé en espagnol. Affaires courantes.

7 février 1878
A Henry Josse, Hte Worms & Cie Great Grimsby : « Il y a quelques signes de faiblesse de la part de Perlbach. Son agent à Anvers a fait un commencement d'ouvertures à Monsieur Deppe, on va continuer les négociations et ces Messieurs paraissent croire que d'ici quelques temps nous serons peut-être débarrassés de ce concurrent. »

22 février 1878
D'Édouard Bonnin, Paris : Vente en bourse de 75 actions de chemins de fer...

28 février-1er mars 1878
De A.-G. Boyé & Cie, Sète : Arrivée des navires "Dagmar" et "Libra" avec cargaisons brai pour le P.L.M.

1er mars 1878
De Séphora Worms, Paris : « Je suis d'accord avec vous pour laisser, jusqu'à nouvel ordre, en compte courant dans votre maison les fonds que j'y ai déposés. »
D'Édouard Bonnin, Paris : « Le 22 février 1878, vous avez vendu 19 chemins Égypte. »

2 mars 1878
« Suivant acte reçu par Me Robert et l'un de ses collègues, notaires à Paris, M.  Josse, agissant au nom et comme ayant la signature sociale de la société Hypolite Worms & Cie, déclare le transfert du siège social (du 7, rue Scribe, où Hypolite Worms a installé sa Maison en octobre 1864) au 45, boulevard Haussmann, et la continuation de la société avec les modifications résultant du décès de M.  Worms. » [Réf. acte de société du 14 février 1881. « Transfert du siège social. »]

5 mars 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : Concurrence Perlbach. « Nous vous envoyons ci-inclus une lettre à votre adresse que Messieurs Mallet ont fait passer par notre entremise. Vous verrez avec plaisir que cette concurrence touche enfin à sa fin. »
A F. Mallet & Cie, Le Havre : Concurrence Perlbach. « Nous avons bien reçu la lettre adressée à notre maison de Bordeaux renfermant copie de celle que vous avez envoyée à Monsieur Deppe... Nous espérons que Monsieur Perlbach acceptera les conditions que vous lui posez et que nous verrons bientôt la fin de cette concurrence Perlbach. »

7 mars 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : « Nous sommes d'avis de profiter de la situation actuelle pour demander que Perlbach abandonne complètement toutes nos lignes. Nous approuvons donc Messieurs Mallet lorsqu'ils demandent à Perlbach de ne plus venir au Havre. »

8 mars 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : « Nous avons la meilleure opinion de Monsieur Deppe et étant donné que c'était par Anvers qu'étaient venues les ouvertures de Perlbach, nous approuvons entièrement Messieurs Mallet de poursuivre les négociations par l'entremise de cet ami. »

11 mars 1878
De A.-G. Boyé & Cie, Sète : « Déchargement du navire "Libra" qui n'a rendu que 181.140 tonnes brai livré à la compagnie P. L. M.  pour votre compte. »
De Antonion Burlo - Giorgio Chiostergi, Trieste : « Adria a rendu au Lloyd et autres les deux vapeurs qu'elle possédait et cette combinaison lui a permis de liquider presque sans perte pour les actionnaires en tenant compte des dividendes payés. »

12 mars 1878
De Hte Worms & Cie Bordeaux, à Adolf Deppe, Anvers : « Selon le désir que vous en avez exprimé, nous venons vous confirmer la conversation que nous avons eue aujourd'hui avec vous, et d'accord avec laquelle il reste entendu que nous continuerons, vous et nous, à exploiter la ligne de Bordeaux à Anvers et vice-versa dans les mêmes conditions que celles qui ont existé jusqu'à présent entre nous et ce, pendant une période de cinq années à partir du 1er janvier 1878, avec faculté pour l'une ou l'autre des parties de se retirer de la ligne avant cette échéance. Agréez... »
A S. T. A. Koch, The United Steam Ship Company, Copenhague : « Nous avons l'avantage de vous accuser réception de votre estimée en date du 8 courant dont le contenu... et à laquelle nous nous empressons de répondre. Vous n'ignorez pas que pendant longtemps nous avons accepté pour notre ligne du Havre et de Hambourg des marchandises destinées à Copenhague et à des ports de la Baltique, qui n'étaient alors desservis ni par vous ni par aucune ligne directe, mais aujourd'hui nous n'éprouvons aucune hésitation à vous faire savoir que nous adoptons volontiers le principe que vous nous proposez et d'après lequel il serait établi qu'aucune concurrence ne serait faite entre votre ligne et la nôtre pour les ports desservis par chacune d'elles respectivement. Pour mieux nous expliquer et en ce qui nous concerne, nous donnons aujourd'hui pour instruction à notre maison de Bordeaux d'avoir à l'avenir à cesser de rechercher du fret et de délivrer des connaissements pour Copenhague ou pour Stettin soit par voie du Havre soit par voie de Hambourg de façon à empêcher la concurrence que vous paraissez craindre et dont d'ailleurs nous n'avons connaissance que par les indications que vous nous donnez. Nous comptons à votre tour que vous saurez lorsque l'occasion s'en présentera, faire preuve à notre égard des mêmes dispositions de conciliation et d'équité que celles dont nous témoignons envers vous dans la circonstance actuelle. Veuillez... »

13 mars 1878
Commencement des achats de pavés. Un relevé indique le tonnage des pavés embarqués sur "Lippe" et "Comte de Hainaut" en 1879, 1881 et 1882.

14 mars 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : Traverses. « Nous vous avons dit que nous ne voulions plus nous occuper de ces affaires ni directement ni indirectement et nous vous le confirmons. Nous vous avons seulement autorisé pour certains cas spéciaux à proposer ces affaires à M... ou autre qui les exécuteraient à leurs risques et périls et vous paieraient une commission de tant par traverse vendue. »
A Adof Deppe, Anvers : La Compagnie des Messageries maritimes nous a demandé aujourd'hui si nous pourrions lui fournir quelques indications concernant la possibilité d'établir une correspondance de fret entre votre port et sa ligne du Brésil et de La Plata partant de Bordeaux comme vous savez. Nous vous serons obligés de vouloir bien étudier la question et de nous renseigner à ce sujet, au cas où vous auriez en effet la perspective de pouvoir attirer des marchandises pour le Brésil et La Plata, ce serait un aliment de fret pour votre propre ligne d'Anvers à Bordeaux et d'après ce que nous a dit la Compagnie nous croyons qu'elle serait disposée à vous confier son agence à Anvers, comme elle l'a fait il y a déjà quelques années pour M.  Cellier à Hambourg sur notre recommandation. Agréez... »

19 mars 1878
A S. T. A. Koch, The United Steam Ship Company, Copenhague : Accuse réception de sa lettre du 14 mars courant et lui pose deux questions sur des points particuliers.

20 mars 1878
De A.-G. Boyé & Cie, Sète : Compte de fret du "Libra".

21 mars 1878
A Adof Deppe, Anvers : « Nous avons bien reçu votre estimée du 15 courant et l'avons communiquée à la Compagnie des Messageries maritimes qui a pris note de son contenu et nous a répondu que pour le moment et étant donné la situation que vous indiquez elle ne pouvait qu'ajourner la question mais si plus tard il y a lieu elle la reprendra volontiers... »

22 mars 1878
De A.-G. Boyé & Cie, Sète : « Le "Dagmar" a terminé son débarquement et n'a rendu que 549.330 kilos de brai livré à la compagnie PLM.  »

23 mars 1878
De A.-G. Boyé & Cie, Sète : Compte de fret et note de frais du "Dagmar".

25 mars 1878
A Koningklijke Nederlandsche Stoombost Maatschapp, Amsterdam : « Il y a bientôt deux ans que les rapports de votre société avec notre maison de Port-Saïd ont pris fin et nous croyons qu'il ne sera peut-être pas inopportun de notre part de nous rappeler à votre souvenir pour le cas où vous auriez d'ici à quelques temps à renouveler les arrangements relatifs à votre approvisionnement de charbon dans ce port... Nous avons le plus grand désir de retrouver votre clientèle que nous regrettons si vivement d'avoir perdu. »

26 mars 1878
De M.  Brunschwig & P. Bloch, Paris : « D'après les instructions que MM.  Faeshernanos & Cie d'Alicante nous ont donnés, nous avons à vous verser la somme de F 435,52 pour laquelle vous pourrez présenter samedi 6 avril prochain votre quittance à notre caisse. »

1er avril 1878
De Bourgeois & Cie, Paris : Information. Augmentation de capital.

4 et 5 avril 1878
A Ferdinand de Lesseps et au président d'Enquête sur les Finances égyptiennes : Démarche en vue d'obtenir le règlement des sommes dues par le gouvernement égyptien.

6 avril 1878
D'Eugène Bloch, Paris : « J'ai l'honneur de vous informer que j'ai remis sur votre maison au profit de M.  A. Le grand, agent de change, 60, rue de Provence à Paris, un reçu daté du 8 courant s'élevant à 6.000 francs que je vous prie d'acquitter au débit de mon compte courant chez vous. »

11 avril 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : Mine Abercarn. « Nous comprenons que vous avez un marché de 15.000 tonnes avec cette mine... qu'elle vous propose un second marché de 15.000... Si c'est bien ainsi nous vous engageons à rester ferme dans votre contre-proposition... Les affaires sont excessivement mauvaises en Angleterre, les prix des charbons baisseront encore. Si vous nous aviez parlé de cette affaire avant de l'entamer avec Cardiff, nous vous aurions conseillé de demander l'annulation de votre ancien marché et de... Votre marché Powell Duffryn est également regrettable. Ne faites donc plus de contrat sans nous consulter. »
De James Burness & Sons, Londres : « Regrettons de vous informer que l'Amirauté anglaise écarte notre offre. Nous ne savons pas encore qui a obtenu le contrat. »

12 avril 1878
A James Burness & Sons, Londres : « We are very sorry to learn that we have again lost the Admiralty contract... »
A Hte Worms & Cie Cardiff : Les ports pour lesquels Cardiff fait le plus fréquemment des expéditions paraissent être : Port-Saïd, Constantinople, Salonique, Alicante, Carthagène, Ancône, Dakar, Singapour, Hong Kong, Rio, Lisbonne.

16 avril 1878
A F. Mallet & Cie, Le Havre : « Nous regrettons de voir que Perlbach annonce son steamer "Roland" pour le 23 courant au Havre. »

18 avril 1878
De Hte Worms & Cie Port-Saïd : Le cuirassé anglais "Shannon", arrivé hier, doit partir pour la mer Rouge demain. Le commandant nous a fait prévenir qu'il aurait besoin de 382 tonnes à Suez. Heureusement nous avons réussi à le persuader qu'il pourrait faire son charbon ici sans risque. Comme il y a toutes espèces de rumeurs sur le mouvement des troupes anglaises et de navires de guerre par le canal de Suez, nous croyons qu'il serait bon de prendre des renseignements à l'Amirauté pour savoir si on nous demandera des charbons à Suez dans des proportions importantes car, ainsi que vous savez, nous sommes engagés sans restrictions ni limites de quantité pour Suez jusqu'au mois de juillet 1879. Notre stock à Suez est d'environ 500 tonnes. »

21 avril 1878
De Hte Worms & Cie Port-Saïd : « Amirauté. Burness nous avise que leur soumission au gouvernement anglais a été refusée. Ici on dit que ce sont les Lambert qui ont enlevé l'affaire. C'est fort probable. »

23 avril 1878
De Hte Worms & Cie Port-Saïd : Sur demande télégraphique faite par nous, Burness écrit à l'Amirauté pour lui demander quelles quantités elle prendrait sur son contrat pendant les deux premiers mois à venir.

25 avril 1878
De Hte Worms & Cie Port-Saïd : Informe Paris que l'Amiral agent du gouvernement anglais chargé du service des transports en Égypte a fait prévenir la Maison de Suez et que, selon toute probabilité, il lui demandera du charbon à Suez en quantité assez importante. « En présence de la tournure actuellement plus pacifique des affaires d'Orient, il est fort probable que le gouvernement renonce à faire venir les troupes indiennes et alors nous croyons que l'on nous demandera peu ou pas de charbon en vertu de notre contrat. S'il en était autrement, nous supposons que vous prendrez les mesures nécessaires pour remonter notre stock de Suez. » Depuis le contrat anglais, la moyenne des livraisons à Suez ne dépasse pas 500 tonnes annuellement. Les approvisionnements sont faits en prévision de demandes de cette proportion.

27 avril 1878
De James Burness & Sons, Londres : Le directeur des contrats à l'Amirauté les a informés qu'il était incapable de donner aucun renseignement sur la question ci-dessus. Mais il les a assurés que dans le cas où les besoins des navires de Sa Majesté à Suez seraient connus, il nous en informerait.

29 avril 1878
De J. Bachmann, Venise : « J'aurai aujourd'hui l'intention de prendre un petit chargement de charbon Cardiff Océan Merthyr, deux fois criblé, par voilier, ou même par bateau à vapeur... Je pense qu'il pourrait se faire de noliser un bateau à vapeur d'environ 1.000 tonnes à un fret plus bas qu'un voilier, pour faire le chargement composé du "patent fuel" de la Compagnie et du charbon que vous seriez à me pourvoir. Et ça, toutes les fois que l'embarquement des deux articles puisse avoir lieu dans un seul port. »

2 mai 1878
A la Société d'exploitation du chemin de fer de Bône à Guelma, Paris : Accusé de réception d'une commande d'un chargement de 300/400 tonnes de charbon de Cardiff à expédier par voilier à destination de Bône.
De Hte Worms & Cie Port-Saïd : Contrat de l'Amirauté. « D'après les renseignements que nous tenons de bonne source, il paraîtrait que contrairement à ce que nous vous disions les Bazin retiennent le contrat de la Marine anglaise. Si nos renseignements sont exacts, il nous paraît extraordinaire que les fournitures soient données à Bazin. On ne sait pas ici si le contrat est pour un an ou trois. » Le prix coté par Bazin est 27/3 alors que les autres maisons ont coté en-dessous.
De Frédéric Bryant & Cie, Marseille : « M.  Fischer, de Paris, nous ayant indiqué votre honorable maison comme référence, nous venons vous prier de nous donner quelques détails sur la fortune et le crédit de M.  Fischer. »

4 mai 1878
A F. Bryant & Cie, Marseille : « En réponse à votre lettre du 2 courant adressée à notre ancien domicile de la rue Scribe. »
De J. Bachmann, Venise : Télégramme. Demande vapeur et chargement en graigola.

5 mai 1878
De Hte Worms & Cie Port-Saïd : Contrat de l'Amirauté. « Nous vous remercions des détails que vous avez bien voulu nous donner au sujet de la soumission. Nous voyons que le chiffre qu'on nous a indiqué ici est erroné. Quant à nous, du moins, nous croyons bien cependant que Lamberts ont fait un très beau prix car nous savons qu'ils tenaient beaucoup à reprendre la fourniture du gouvernement anglais. »

6 mai 1878
D'Eugène Bloch, Paris : « Je vous prie, en conformité de nos conversations, de vouloir bien verser ou faire verser à mon crédit, à la Compagnie algérienne, 13, rue [...] des Capucins à Paris, la somme de 69.000 francs qui doit former à peu près le solde de ce qui me revient en compte courant chez vous à ce jour. » Lien avec M.  et Mme Julien May à Paris.

8 mai 1878
De J. Bachmann, Venise : « J'ai appris avec plaisir que vous avez chargé votre maison de Cardiff de s'occuper pour arranger le chargement que j'aimerais à recevoir en ce moment par un bateau à vapeur... Je vous confirme mon ordre pour un chargement entier de Océan Merthyr, c'est-à-dire 600/700 tonnes charbon gros, deux fois criblé, à 27/ cif et 250/300 patent fuel à 28/ cif. Vous me faites cependant comprendre que les vapeurs sont excessivement rares et qu'il sera par conséquent difficile d'obtenir le chargement aux prix susdits, mais, dès [lors] que je ne crois pas à une guerre et que je vois le grand nombre de vapeurs qui retournent aujourd'hui de la mer Noire et du Danube en Angleterre, je me flatte que votre maison de Cardiff pourra être à même d'y remplir et réussir ou du moins de vous télégraphier une offre acceptable, de laquelle vous aurez sans doute la bonté de m'informer tout de suite. »

13 mai 1878
De James Burness & Sons, Londres : Envoi d'une coupure de journal informant que d'après des avis d'Alexandrie, le gouvernement anglais a acheté 10 acres de terrain dans le voisinage de Port-Saïd pour "coaling station".
De Brayer de Pennevet & Co., New York : Au sujet de F. Bryant & Cie. « Une maison de Marseille de nouvelle création, dont le nom est inscrit au bulletin inclus, vient de nous écrire pour ouvrir des rapports d'affaires aux États-Unis sur une assez large échelle. N'ayant pas l'avantage de la connaître et le nom de votre honorable firme se trouvant parmi ses références et celles de son commanditaire, nous prenons la liberté de vous adresser ces lignes pour vous prier de vouloir bien nous renseigner sur le compte de cet établissement qui paraît être dirigé par des personnes pratiques et compétentes. »

19 mai 1878
De Hte Worms & Cie Port-Saïd : Suez. « Jusqu'ici nous n'avons fait qu'une livraison sans importance à un remorqueur au service du gouvernement anglais. Il est probable que nous aurons quelques centaines de tonnes à livrer de cette façon si les troupes continuent à arriver des Indes. Mais en tout cas, nous croyons que notre stock est plus que suffisant à faire face aux demandes que l'on peut nous faire. »

25 mai 1878
A Hte Worms & Cie Cardiff : M.  Staniford. « Nous avons reçu hier une lettre de lui dans laquelle il nous donne sa démission par suite de la continuation du mauvais état de sa santé et aujourd'hui copie d'une circulaire par laquelle il porte le fait à la connaissance de ses amis et dont vous connaissez sans doute maintenant les termes. Dans cette circulaire, il fait allusion à la vôtre du 12 juillet dont veuillez nous envoyer copie. C'est inutile nous venons de la retrouver. »

27 mai 1878
De J. Bachmann, Venise : Télégramme. Annulation de la demande de vapeur.

1er juin 1878
De Hte Worms & Cie Port-Saïd : Contrat de l'Amirauté. « Voici un compte général des charbons livrés à Suez en vertu de notre contrat avec l'Amirauté. Nous aurons encore quelques livraisons à faire à un ou deux navires de guerre attendus à Suez et qui ne passeront pas par le Canal. »

4 juin 1878
Au ministre de la Guerre, Paris : Demande l'autorisation de prendre part à l'adjudication pour fourniture de charbon à la poudrerie d'Angoulême. Dans cette lettre il est dit que Henry Josse est de nationalité anglaise, mais a son domicile légal à Paris.

5 juin 1878
Dette du gouvernement égyptien vis-à-vis de Hte Worms & Cie pour fournitures de charbon faites en 1875, 1876 et 1877.

8 juin 1878
De Hte Worms & Cie Port-Saïd : Contrat de l'Amirauté. Note de comptabilité pour facture de charbon au steamer "Spartan" à Suez £ 371.17.6 / 9.296.88 F.

12 juin 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : « Nous avons eu l'occasion de voir Monsieur Deppe ces jours derniers qui nous a dit n'avoir rien de nouveau de Perlbach, mais il les croit bien malades. »

13 juin 1878
[Extrait d'un relevé du 27 juin 1882 :] Tonnage de pavés embarqués sur "Lippe" et "Comte de Hainaut" entre le 13 juin 1878 et le 27 juin 1882.

20 juin 1878
De la Banque de France, Paris : « Le chef du bureau des livres vous invite à faire retirer le plus tôt possible les pièces de votre compte soldé. »

1er juillet 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : "Commandant-Franchetti". « Le peu de fret actuel vous met dans l'embarras et vous ne savez si vous devez envoyer ce bateau à Bilbao prendre un demi chargement de minerai ou bien si vous devez l'envoyer à Cardiff au charbon. Nous vous disons que nous n'aimons pas beaucoup plus un voyage que l'autre. »

2 juillet 1878
De Hijos de J. M.  Bofill, Barcelone : Courrier rédigé en espagnol. Affaires courantes.

6 juillet 1878
De l'agence centrale des Banques coloniales, Paris : « L'agent central des banques coloniales a l'honneur de prévenir MM.  Hte Worms & Cie qu'ils peuvent faire retirer, sans présenter le [...], le mandat de la Guadeloupe de francs 1590,73, déposé par eux, leur lettre de cautionnement étant une garantie suffisante en cas d'éventualité. »

9 juillet 1878
De Hijos de J. M.  Bofill, Barcelone : Courrier rédigé en espagnol. Affaires courantes.

28 juillet 1877
De Hte Worms & Cie Port-Saïd : Contrat de l'Amirauté. « Par notre contrat avec l'Amirauté, nous sommes engagés jusqu'au 31 décembre 1879, ce qui nous fait un devoir de vous informer que notre stock charbon de ce port est très réduit par suite d'une livraison que nous venons de faire à un navire de guerre anglais dont nous vous remettons facture. » Navire "Vestal" pour 317.3.9 £ / 7 929.70 F. Duplicata de reçu de bord joint ; il s'élève à 145 tonnes. « Suez demande si nous pensons pouvoir trouver une occasion pour faire une expédition directe ou s'il doit s'arranger sur place pour remonter son stock soit en achetant à ses voisins, soit en expédiant par barques.

30 juillet 1878
De Hijos de J. M.  Bofill, Barcelone : Courrier rédigé en espagnol. Affaires courantes.

31 juillet 1878
A la Société du gaz de Port-Saïd, Paris : Confirmation de la vente qui lui a été faite verbalement de 100 tonnes de charbon à gaz.

1er août 1878
De Hijos de J. M.  Bofill, Barcelone : Courrier rédigé en espagnol. Affaires courantes.

2 août 1878
De Hijos de J. M.  Bofill, Barcelone : Courrier rédigé en espagnol. Affaires courantes.
De Hijos de J. M.  Bofill, Barcelone : Télégramme rédigé en espagnol.

12 août 1878
A Émile Grosos, Le Havre : « Accuse réception de vos deux lettres du 10 courant, nous faisant connaître les résultats des opérations de vos deux lignes de la Baltique et participation Péninsulaire pendant le premier semestre 1878. »

17 août 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : Concurrence Anvers : « Lors de la dernière entrevue dont vous nous parlez, il a été convenu que Monsieur Deppe, à la suite d'ouvertures qui lui avaient été faites par nos concurrents, tenterait d'arriver à un arrangement avec eux, mais qu'en attendant et jusqu'à ce qu'un accord fût intervenu, on continuerait la concurrence entre Anvers et Hambourg. Les démarches de Deppe n'ont pas abouti, par conséquent la lutte doit continuer. »

30 août 1878
De J. Billard, Le Havre : « Mon beau-père, M.  [Lemonnier], sous l'impression du coup fatal qui vient de le frapper, me charge d'être son interprète près de vous, n'ayant nullement la force de vous remercier de toutes vos intentions à l'égard de son pauvre fils. Il a reçu toutes vos dépêches et regrette ainsi que toute la famille que l'exhumation ne puisse avoir lieu avant une année mais elle reste toujours dans les mêmes intentions, attendant impatiemment le jour où elle pourra se rendre auprès des restes de notre bon Jules... Quand vous aurez d'autres détails sur sa maladie, nous serons heureux que vous nous les communiquiez. »

13 septembre 1878
A la Société du gaz de Port-Saïd, Paris : Confirmation de la vente verbale de 200 tonnes de charbon à gaz à expédier de Newcastle à Port-Saïd par le steamer "Asdrubal".

19 septembre 1878
Au Lloyd austro-hongrois, Trieste : « Nous apprenons que vous allez organiser un service sur Singapour et nous prenons la liberté de vous écrire à nouveau pour remettre sous vos yeux le nom de nos amis de la Pointe de Galles, et de Colombo et vous indiquer également nos correspondants à Singapour qui seraient également désireux d'être chargés de la représentation de votre Société dans ce port... »

4 octobre 1878
Aux Messageries maritimes, Paris : Proposition pour le renouvellement du contrat pour la fourniture du charbon nécessaire à leurs paquebots à Bordeaux pendant une année arrivé à expiration le 1er octobre.

10 octobre 1878
De Roger Mennevée : [Extrait de l'article intitulé "La Banque Worms - Histoire générale - Deuxième partie - Hypolite Worms (2e du nom)", paru dans Les Documents de l'agence indépendante d'informations internationales en décembre 1948.] « Le 10 octobre 1878, Lucien Worms épousa, en Angleterre, Virginie Adèle Houcke, née le 23 novembre 1854 à Paris, fille de Jean Léonard Houcke, écuyer, et de Mme Adèle René, son épouse, domiciliés alors 30, rue de Ménilmontant à Paris. Le père de Mademoiselle Houcke était considéré comme une importante personnalité du monde des spectacles hippiques ; sous le nom de Léonard, il avait été, précédemment, directeur des deux Cirques de Paris, avant les Franconi. Voici l'extrait d'acte de mariage de Lucien Worms avec MeIle Houcke : "Certificat d'acte de mariage célébré au bureau de l'état civil dans le district de Marylebone, dans le comté de Middles, n°148, le dix octobre mil huit cent soixante dix huit. M.  Lucien Worms, âgé de trente-neuf ans, célibataire, marchand de charbons, demeurant n°11, Charlotte Street, fils de feu Hippolyte Worms, négociant en charbons, et Virginie Adèle Houcke, âgée de vingt-trois ans, célibataire, demeurant Grosvenor, Hôtel Buckingham Palace Road, fille de feu Jean Léonard-Houcke, négociant, ont été unis en mariage au bureau de l'état civil par licence devant moi Franck Stockes, greffier de l'état civil. Mme Houcke, mère de l'épouse assistait au mariage." L'acte de mariage a été transcrit sur les registres d'état civil du 3ème arrondissement de Paris le 23 juin 1880 sur la requête de M.  Lucien Worms, marchand de charbons, demeurant à Paris, 36, avenue Friedland, et de Mademoiselle Virginie Adèle Houcke, sans profession, même adresse, rentrés en France le 15 avril 1880. »

18 octobre 1878
A Hte Worms & Cie Port-Saïd : Au sujet de l'envoi à Port-Saïd de Edmond Coullet comme employé. Monsieur Coullet avait déjà passé plusieurs années à la maison de Grimsby.

25 octobre 1878
A Hte Worms & Cie Port-Saïd : Will's Manche & Co.. « Monsieur Nixon était revenu à nous pour nous dire qu'il pourrait peut-être faire quelque chose avec nous pour l'année prochaine et nous avions répondu que nous étions tout disposés, mais aujourd'hui nous recevons une lettre de Cardiff qui nous dit que définitivement ce mineur continue encore pour 12 mois avec Will's Manche & Co.. Dans tous les cas cela prouve qu'il y a eu des tiraillements dans la maison. »

28 octobre 1878
A Jimenez & Lamothe, Malaga : « Nous avons l'avantage de vous accuser réception de votre lettre en date du 24 courant, et tout en vous remerciant des ouvertures que vous nous faites pour l'établissement d'un service de bateaux à vapeur sur votre port... Venons vous faire savoir que nous ne pouvons pas y donner suite, d'abord parce que tous nos navires sont actuellement engagés dans une autre navigation et ensuite parce que nous sommes nous-mêmes intéressés dans la ligne Péninsulaire que vous connaissez. »

2 novembre 1878
A Hte Worms & Cie Bordeaux : Concurrence Anvers. « Monsieur Mallet nous en avait parlé ; nous a dit qu'il ne serait pas surpris qu'il y ait du nouveau prochainement attendu qu'on l'avait fait tâter de la part de Perlbach pour arriver à une entente. »
De B. Bouvier, Hte Worms & Cie Marseille : « Suivant la recommandation de M.  O'Connor, je m'empresse de vous informer de mon arrivée à Marseille en bonne santé et après un excellent voyage... »

15 novembre 1878
Société des Chemins de fer romains, Florence : Proposition pour fourniture de 3.500 tonnes briquettes tinel ou graigola à livrer à Ancône, proposition pour fourniture de 12.000 (en deux lots de 6.000) de briquettes tinel ou graigola à livrer à Livourne, proposition pour 6.500 tonnes de briquettes à livrer à Civitavecchia.

19 novembre 1878
A Eugène Cellier, Hambourg, et la Deutsche Dampfschiffs Rhederei, Hambourg : Démarche pour obtenir d'être de nouveau chargé de son agence à Port-Saïd, tant pour les fournitures de charbon que pour le paiement des droits de passage.

23 novembre 1878
Naissance de Louise Valentine, fille aînée d'Emma Louise Worms et de Louis Emmanuel Arthur Delavigne.

28 novembre 1878
Des chemins de fer romains : Propositions non acceptées.

29 novembre 1878
Au Ministre des Affaires étrangères, Paris : Au sujet retard gouvernement égyptien à payer les fournitures de charbons à lui faites en 1875, 1876 et 1877 et du jugement rendu en faveur de Hte Worms & Cie le 12 octobre 1878 par le Tribunal de première instance d'Alexandrie. « Dans la situation bien nette où nous place le jugement, mais dans l'impossibilité où nous sommes de pouvoir le faire exécuter, nous vous prions Monsieur le Ministre, de bien vouloir nous accorder le concours et l'appui de vos agents en Égypte pour nous aider à obtenir le règlement auquel cette décision nous donne droit et nous nous permettons de vous supplier au cas où notre appel recevrait de vous un accueil favorable, de vouloir bien donner le plus prompt effet à vos dispositions bienveillantes de façon à nous permettre de profiter des ressources que les derniers arrangements financiers ont créées au gouvernement égyptien, (à l'époque où le gouvernement avait interrompu ses règlements avec Monsieur Worms, il restait à ceux-ci un solde de plus de six millions de piastres).

30 novembre 1878
A M.  Joly de Boissel, ingénieur en chef du bassin dock de Bordeaux : « Le vapeur "Lucien" qui fait partie de la ligne que nous exploitons à Bordeaux en société avec Messieurs F. Mallet & Cie du Havre... »

4 décembre 1878
A F. Mallet & Cie, Le Havre : Affrètement "Séphora" 1879. « Nous sommes d'accord pour vous renouveler cet affrètement pour l'année prochaine sauf que nous vous demandons que vous continuiez à nous payer 10 % sur la somme de F. 181 500... »

7 décembre 1878
A M.  Lannes, de Hte Worms & Cie Bordeaux : Facture intéressante par son en-tête. [Ce document a été transmis à la succursale de Cardiff le 14 avril 1942. Dans la note qui l'accompagne, il est dit que M.  Lannes avait pour principale activité la fourniture de sacs aux exploitations agricoles pour la manutention de légumes et qu'il devint fabricant de textiles après l'invasion allemande.]

19 décembre 1878
Au Chemin de fer de Madrid à Saragosse et à Alicante, Paris : Proposition pour fourniture 20.000 tonnes charbon de Cardiff à Alicante et Carthagène. Le marché qui se termine laisse à la Maison une lourde perte provenant de hausse considérable du cours des frets par suite des événements d'Orient.

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