1938.04.Le réveil du Trait.ACSM

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Le réveil du Trait, organe local du parti communiste

Journal mensuel. Le numéro : 25 centimes

Avril 1938

Premier mai
Pour la seconde fois depuis l’avènement au pouvoir du Front populaire, la classe ouvrière de notre pays fêtera le 1er mai. Dans la circonstance, il est nécessaire de se poser chacun cette question : où en sommes-nous ?
En politique intérieure, le programme du rassemblement populaire – il faut bien le dire – est loin d’être d’achevé. Les Vieux, les contribuables, les chômeurs, les ouvriers agricoles et d’industrie, les petits commerçants et les rentiers étaient en droit d’attendre une meilleure application du programme de rassemblement populaire voulu pour le suffrage universel. Enfin, le peuple tout entier était en droit d’attendre le désarmement et la dissolution effective des ligues factieuses.
Mais il y a pure, camarades, les lois sociales (conventions collectives, droit syndical, 40 heures, congés payés) arrachés par l’union de tous les travailleurs dans la lutte commune, subissent l’assaut forcené de la réaction. L’état de tension ainsi créé aboutit normalement à la grève dont les ouvriers ne sont pas responsables. Nous citerons l’exemple frappant de la région parisienne, où la bonne volonté du gouvernement et des ouvriers dans le règlement des conflits en cours se heurte à l’intransigeance patronale opposée à toute reprise du travail, à l’encontre des intérêts vitaux du pays.
Et comme si ce sombre tableau n’était pas suffisamment éloquent, la situation extérieure est loin d’apaiser nos craintes. Par-delà le Rhin, par-delà les Alpes, Hitler et Mussolini menacent nos frontières. En Espagne, ils aident Franco contre la République espagnole et contre la France. Le spectre de la guerre, de la guerre totale, aux procédés de destruction terriblement accrus, plane à nouveau sur nos villes et nos villages, après vingt ans de paix précaire.
Est-ce à dire que nous devons abandonner sans combat les conquêtes sociales du Front populaire menacées, entre les mains des oligarchies financières ? Est-ce à dire que nous devons, à l’exemple de certains ministres, nous fourrer sous la table quand Hitler et Mussolini frappent à coups de poings dessus ? Est-ce à dire que nous devons capituler devant nos ennemis de l’intérieur alliés à ceux de l’extérieur ? Il n’en est point question, camarades !
Il faut que le premier mai, les forces ouvrières et républicaines imposent leur volonté. Il faut qu’au Trait, l’imposante mobilisation des forces ouvrières de la cité manifeste à la fois sa volonté de paix et son irréductible opposition à tout « aménagement » des lois sociales.
Il faut sauver la paix notre bien le plus précieux. Car, sauver la paix, c’est sauver nos mères, nos femmes et nos petits-enfants menacés jusque dans leur vie. Il faut préserver contre les attaques sournoises.
[illisible] socialistes du Front populaire
Camarades ! À l’appel des organisations cégétistes locales, à l’appel des partis politiques composant le rassemblement populaire, nous défilerons au Trait, en masse puissante et disciplinée.
Nous irons aussi nous incliner sur la tombe de notre vénéré camarade Robert Lemonier, et inaugurer la dalle funéraire que la solidarité fraternelle de tous a permis d’élever sur sa dernière demeure.
R. Legendre.

Défense de la paix
Plus angoissant que jamais, le problème de la paix se pose à tous les esprits. Nous connaissons actuellement des jours qui sont parmi les plus graves de la période d’après-guerre, et tous ceux, si nombreux, qu’intéresse la sauvegarde de la paix doivent agir sans tarder pour dissiper l’épouvantable menace.
En plusieurs points du globe, le sang coule et la répression féroce s’abat. Depuis bientôt deux ans, l’Espagne héroïque défend son sol et ses libertés contre l’envahisseur fasciste ; les vaillants miliciens opposent au matériel étranger leurs poitrines et leur foi dans la victoire ; mais, victimes de la criminelle non-intervention, ils n’obtiennent pas la victoire définitive qu’aurait dû leur apporter rapidement le respect du droit international par les grandes démocraties. La Chine, elle aussi, résiste à l’envahisseur, et la façon admirable dont se défendent les deux peuples prouve que, si l’attitude énergique qu’imposait la situation internationale avait été prise par les démocraties, ces douloureux conflits seraient maintenant terminés et la cause de la paix aurait fait un pas immense.
En plusieurs points du globe, le sang coule et la répression féroce s’abat. Depuis bientôt deux ans, l’Espagne héroïque défend son sol et ses libertés contre l’envahisseur fasciste ; les vaillants miliciens opposent au matériel étranger leurs poitrines et leur foi dans la victoire ; mais, victimes de la criminelle non-intervention, ils n’obtiennent pas la victoire définitive qu’aurait dû leur apporter rapidement le respect du droit international par les grandes démocraties. La Chine, elle aussi, résiste à l’envahisseur, et la façon admirable dont se défendent les deux peuples prouve que, si l’attitude énergique qu’imposait la situation internationale avait été prise par les démocraties, ces douloureux conflits seraient maintenant terminés et la cause de la paix aurait fait un pas immense.
Au lieu de cela, reculs et concessions se succèdent au rythme des coups de force et des éclats de voix fascistes. Et des gens ont encore [illisible]. Les Jeunesses hitlériennes [illisible].
Aujourd’hui, l’Allemagne nous appartient ; demain ce sera le monde entier, après que Mussolini ait déclaré : « Demain, l’Europe sera fasciste. » L’encerclement de la France se réalise, nos routes coloniales sont menacées, la nazification de l’Autriche est un fait accompli que prépare celle de la Tchécoslovaquie, rempart de la démocratie de l’Europe centrale. Jusqu’à quand pratiquera-t-on cette politique de l’autruche qui se cache pour ne pas voir le danger, et ne court que plus de risques ? Jusqu’à quand suivra-t-on l’odieuse politique conservatrice de Londres qui ne sert que les intérêts de l’impérialisme britannique ?
Il est encore temps de sauver cette paix si ébranlée ; la France, pays des idées généreuses, a le devoir de faire entendre sa voix. Les grandes démocraties sont intéressées à la paix, (Qu'on se rappelle les discours de Roosevelt et leur union peut sauver le monde de la barbarie fasciste. Union internationale mais aussi union dans le pays. Le Front populaire est attaché à la paix, il est encore temps d'appliquer son programme en matière de politique extérieure. Les ouvriers de France, les paysans, les classes moyennes, les femmes ont la haine de la guerre qui bombarde les villes ouvertes et massa­cre les populations civiles ; l'union de leurs forces doit engager le gouvernement dans une politique de paix conséquente.
Consciente de la nécessité de cette union, la cellule communiste du Trait a fait appel aux partis du Front populaire et à la CGT pour tenir un grand meeting commun en faveur de la paix. En présence de ce grave problème tous se sont immédiatement mis d’accord. Le meeting aura lieu avec un orateur de chacun des partis et organisation, le samedi 23 avril, à 20 heures. Des affiches et des tracts en donneront le détail en temps voulu. Nous sommes certains que tous les amis de la paix auront à cœur d’y assister pour montrer qu’ils sont prêts à entrer dans la ronde immense des innombrables défenseurs de la paix.
Louis Douay.

Priez pour elles
Deux poules dures dans un car,
Revenaient tranquillement du marché
De la vie et de ses avatars
Elles voulaient activement discuter.
L’une dit : « Oh ! chose affreuse,
J’ai aperçu tout à l’heure
Une mère de famille nombreuse
Acheter beaucoup de primeurs. »
En effet une brave ménagère
Avait acheté deux jeunes poulets,
Et, pour faire plaisir à ces commères,
Aurait dû prendre du hareng frais.
L’une d’elles de se plaindre :
« Mes rentes ne sont pas augmentées ! »
Et l’autre qui se met à geindre :
« ça ne peut pas continuer. »
- camarades, voyez la mentalité
De ces deux vieilles poules :
C’est sûrement deux racolées
À des valets de la cagoule.
Je sais bien que c’est ennuyeux
Pour les braves petits rentiers
Qui, à des prix très onéreux
Sont obligés de se ravitailler.
C’n’est pas à nous qu’il faut j’ter
La pierre !
Ils devraient tout de même réfléchir
Et voyez-vous ces deux mémères
Qui n’ont qu’un but : Nous haïr !
Mais nous, vaillants travailleurs,
Écoutons cela en rigolant,
Car, malgré leurs grimaces et leurs
pleurs,
Nous disons : ça, c’est marrant !
Le Cloirec.

Mouvement préfectoral
M. Graux, préfet de la Seine-Inférieure, vient d’être nommé dernièrement préfet des Bouches-du-Rhône. M. le préfet de la Seine-Inférieure laisse dans les milieux syndicalistes de notre région le souvenir d’un magistrat froid et généralement hostile aux revendications ouvrières. C’est lui qui, notamment, nous délégua au Trait la garde mobile en guise d’étrennes… bien que les ouvriers du Trait fissent preuve du plus grand calme. Nous saluons M. Berthouin, préfet de la Marne appelé à lui succéder aux mêmes fonctions et nous sommes certains qu’il fera preuve de tact et de compréhension envers nous.
R. Legendre.

Saluons un nouveau journal
Nos camarades socialistes de la quatrième circonscription de Rouen ont fait paraître le premier numéro de leur journal d’union des travailleurs. Nous sommes heureux de saluer la parution dans notre région de ce nouveau journal d’un parti du Front populaire : nous lui souhaitons le succès et nous espérons [illisible] avec lui les fraternelles relations qui feront avancer la réalisation de l’unité indispensable à la grande victoire du peuple français.
Le bureau.

Jeunes, lisez L’avant-garde
Adhérez aux jeunesses communistes

Les chefs du prolétariat
Friedrich Engels
Comme Marx, Engels, son futur disciple voit le jour dans la Rhénanie, province alors économiquement beaucoup plus développée que le reste du l’Allemagne. Il est né à Barmen le 28 novembre 1820, d’une famille très considérée, à laquelle il ne ressemble pas du tout, puisqu’elle il ne ressemble pas du tout, puisqu’elle le qualifie d’atroce petit canard ! Ses études terminées, il entre dans une maison de commerce de Barmen, puis son père l’envoie dans une maison anglaise où il a des intérêts engagés. Les deux ans qu’il passe dans ce pays spécifiquement capitaliste lui permettent de se documenter tout en participant au mouvement politique.
Il revient en 1844 dans son pays, et, en passant à Paris, fait la connaissance de Karl Marx avec qui il était en correspondance depuis longtemps. Il écrit ses premiers essais, passe quelques temps en Allemagne, et suit Marx à Bruxelles en 1845. C’est là que commence leur travail en commun dont l’ensemble est considérable. En 1847, Engels représente au congrès de Londres, la section de Paris de la ligue des justes qui deviendra la ligue des communistes. De ce congrès, sort le manifeste du parti communiste.
Les événements séparent les deux amis. Engels prend part à un mouvement insurrectionnel d’une province allemande, et tous ceux qui l’ont vu au feu signalent son sang-froid extraordinaire. Toute activité politique devenant impossible, le penseur se fixe à Manchester comme employé de bureau dans une maison de coton. Pendant vingt ans c’est une vie sans intérêt ; les deux amis n’ont que de rares occasions de se rencontrer mais ils correspondent presque tous les jours. Ces années d’isolement n’abattent pas Engels qui fait preuve d’un entrain qui ne se dément jamais.
Sa joue est immense quand il rejoint définitivement Marx à Londres. Le travail acharné reprend au sein de l’Internationale. Les brochures et les articles se succèdent, et, en 1878, paraît L’anti-Duhring, réfutation de l’ouvrage d’un docteur allemand qui se dit socialiste, et dont les idées ne sont pas sans danger. De ce livre important, l’essentiel a été édité depuis sous le titre de Socialisme utopique et socialisme scientifique. Pendant cette période d’activité, la maison des amis est le refuge toujours accueillant des proscrits de la Commune.
À la mort de Marx, Engels a 63 ans.
Il met au point les œuvres de son collaborateur et en surveille les traductions. Cet homme extraordinaire ne connaît pas moins de vingt langues. Tous les militants qui se heurtent à des difficultés viennent le consulter ; ils le trouvent toujours jeunes, souriant, d’une bonté proverbiale, pardonnant les erreurs, les fautes, mais impitoyable devant la fausseté et l’infidélité au parti. Ce modeste et grand penseur disparaît le 5 août 1895. Comme Marx, il n’aura pas eu la joie de voir se réaliser les grandes choses qu’il a préparées, mais sa mémoire est immortelle, car les travailleurs se souviendront toujours de ceux qui leur est tracé le chemin de la lutte.
Louis Douay.

« Soleil »
Pourquoi éclaires-tu ?
Sur tous les points de la terre
Ces tristes individus
Qui ne sèment que la misère ?
Pourquoi éclaires-tu
Sur les champs de bataille
Les cadavres maigres et nus,
Déchiquetés par la mitraille ?
Pourquoi éclaires-tu
Ceux qui détruisent et ravagent
Tous ces gosses ingénus
Qui n’en font qu’un carnage ?
Tu ferais mieux d’éclairer
Le vieux peuple de France
Qui est ensommeillé
Et reste dans l’ignorance.
De tous ces cagoulards
Qui sont en liberté
Frappe-les donc de ton dard
Et sauve l’humanité !
Le Cloarec.

Provocations…
Des camarades de Betteville nous signalent les continuelles provocations dont ils sont victimes [illisible] depuis qu’il existe une cellule communiste dans cette petite localité. Un individu de force herculéenne veut imposer sa volonté sur les travailleurs, et a, en particulier, déclenché une regrettable [illisible] au moment des fêtes de Noël. La justice a puni également provocateurs et provoqués. Naturellement, la presse réactionnaire du coin a fait retomber sur nos camarades [illisible] les provocations ont repris de plus belle. Nous espérons que nos camarades de Betteville sauront [illisible] de l’individu en question et que le jour n’est pas loin où il sera bien obligé de cesser son activité néfaste.

Les Vieux
Nos amis les Vieux travailleurs du Trait ont répondu le jeudi 14 avril à l’appel que leur avait lancé la cellule communiste en vue de leur organisation. Le camarade Lecour, secrétaire départemental des comités des Vieux, empêché n’avait pu assurer la réunion. Notre camarade Douay se chargea d’exposer la tragique situation des Vieux travailleurs et les moyens d’apporter une vieillesse digne et heureuse à ceux qui ont peiné durant toute leur vie. Après cet exposé, les Vieux présents formèrent leur comité et nommèrent un bureau provisoire. Le mois prochain, ils se réuniront de nouveau avec le camarade Lecour pour étudier leur organisation.
Nous saluons fraternellement ce nouveau groupement du Trait dans lequel nous espérons bientôt voir tous les Vieux de notre cité. Nous l’assurons de notre sympathie et de notre dévouement sans limites suivant en cela la politique de notre parti qui s’est fait et qui reste le vaillant défenseur de la retraite pour les Vieux.
René Talbot.

Camarades…
Retenez ceci : du 9 mai au 17 juillet.
Commémoration du cinquantenaire du vélo-club havrais.

Meeting de propagande
Notre camarade Le Troadec, conseiller d’arrondissement du Havre, délégué permanent à la propagande du parti communiste, sera dans notre section les 29 et 30 avril. Il assurera une grande réunion d’information sur la situation actuelle et la politique du parti communiste, le vendredi 29 avril 1938, salle Leroy, à 18 heures. Tous nos camarades et amis y sont cordialement invités.
Le bureau.

Travailleurs…
Lisez tous l’admirable livre de M. Thorez : Fils du peuple.

Dans la métallurgie parisienne
Plusieurs mois se sont écoulés depuis la date à laquelle l’union syndicale des ouvriers métallurgistes de la région parisienne adressait ses propositions de modifications à la convention collective signée en juin 1936, à l’organisation patronale.
Malgré les efforts répétés et l’esprit de conciliation le plus large manifesté par les ouvriers métallurgistes, un conflit qui eut pu être évité a pris naissance dans l’intransigeance patronale et s’est développé ces temps derniers.
Ce ne fut cependant pas du côté ouvrier que des obstacles furent mis à une solution plus rapide. Il suffit de se reporter aux propositions du gouvernement précédent pour que chacun constate qu’elles étaient identiques aux solutions qui sont intervenues depuis.
Deux semaines de sacrifice imposés à la classe ouvrière et un ralentissement momentané des productions de défense nationale auraient pu être évités, si ces propositions avaient été retenues et acceptées du côté patronal comme elles l’avaient été du côté ouvrier.
Il est facile de comprendre que certains gros patrons n’aient pas vu d’un bon œil les demandes de garantie formulées par les ouvriers métallurgistes ; cela explique bien des manœuvres et aussi certaines provocations caractérisées. Néanmoins, tous les efforts, toutes les manœuvres, toutes les provocations se sont brisés sur le bloc des métallurgistes et une fois de plus, sans compromettre les intérêts du pays, ils ont su défendre leurs conditions d’existence et de travail.
Le travail a repris normalement dans les usines.
Les ouvriers dont la conscience et la valeur professionnelle ne sont plus à démontrer se sont mis avec ardeur à la tâche. Ayant obtenu une certaine satisfaction sur les salaires, ils ont accepté le principe de cinq heures supplémentaires de dérogation par semaine, pour hausser la production au niveau des nécessités de la sécurité du pays.
Ils ne comprendraient pas toutefois qu’on leur demande des heures supplémentaires sans qu’on organise la rentrée de nombreux professionnels en chômage, alors que dans certaines usines d’aviation notamment, on continuerait à travailler moins de quarante heures par semaine.
Dans une situation aussi grave, on ne peut concevoir que M. Gignoux, le comité des forges et les bailleurs de fonds de la cagoule soient laissés libres de poursuivre une activité se contraire aux intérêts du pays. Il s’agit maintenant que l’intransigeance du grand patronat ne ranime pas le différend de la métallurgie parisienne.
Le pays ne le comprendrait ni ne l’accepterait.

Jeunes !
Lisez tous L’avant-garde et pour une jeunesse forte, libre, heureuse et travailleuse dans notre beau pays. Adhérez aux jeunesses communistes. S’adresser au camarade Demerseman.

Sortie sur Barentin (24 avril)
À l’occasion de l’arrivée de la course Paris-Barentin, tous les camarades cyclotouristes sont priés de se réunir place du marché.
Départ à 13 heures.

Salon de coiffure dames & messieurs
Robert Mayeu
Coiffeur Le Trait.
Coupe, ondulation de premier ordre, indéfrisable irréprochable. Pour messieurs : travail soigné. Vente d’eau de Cologne au détail à des prix défiant toute concurrence.
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Travail soigné.
Prix modérés.

Vins & spiritueux de choix
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Julien Déhais
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Charbons
R. Leclerc se recommande à sa fidèle clientèle du Trait pour livraisons à domicile de boulets, charbons gras et maigres et cokes à gaz.

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Livraisons à domicile les mardi, jeudi, dimanche.
Le jeudi étal place du marché.
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De la qualité… des prix.

Où allons-nous ! Chez Alfred Prévost.
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Forge et quincaillerie.

À la civette du Trait
Louis Deparis
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Cigares et cigarettes de luxe.
Épicerie fixe.
Vins de tous les grands crus de France.
Bordeaux, Médoc, St Julien, St Estephe, Montbazillac, Ste Croix du Mont, Sauternes, Barsac.
Bourgogne : Mourseault, Chablis, Pouilly, Moulin à vent, Mercurey, Corton, Nuits, Pommard
Mousseux : Champagne, liqueurs de toutes marques.

Le gérant : L. Adam


 

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