1893.07.15.De A. E. Monod - Worms Josse et Cie Marseille

NB : La copie image de ce document de très mauvaise qualité n'a pas été conservée.

15 juillet 1893
MM. Worms Josse & Cie
Paris

Messieurs,
Comme suite à mes avis d'hier concernant M. Greffulhe, je vous envoie pour votre gouverne sous ce pli copie des deux dernières lettres qu'en date des 10 et 14 courants, il nous a adressées de Montpellier.
Je ne sais si vous serez de mon opinion, mais il me semble que tous cela n'est que de l'eau bénite de [cour] et ne nous fait pas faire un pas vers un règlement. Quand on doit près de 200.000 F à une maison, c'est bien facile de dire: je prends note de mon débit, je vous solderai d'un moment à l'autre et vous en ferez part ; mais on ne fait pas remettre d'argent !
Il paraît que M. Adrien Fraissinet est rentré de Paris et Londres enchanté de son voyage. On dit qu'il va avoir une grande situation comme représentant d'une maison importante de la côte orientale d'Afrique mais il m'a été impossible jusqu'ici de découvrir laquelle.
Veuillez agréer, Messieurs, l'assurance de mes sentiments les meilleurs.

A. Monod

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