1940.11.08.De G. de Brehville - journal Au Pilori.Article

NB : Cet article est également compris dans le recueil de coupures de presse datées du 17 octobre 1940 au 21 décembre 1941, qui est classé au 17 octobre 1940.

Au Pilori
8 novembre 1940

Juifs et Francs-Maçons. L'École Polytechnique.

Un article publié par un confrère met en cause un certain Jacques Barnaud qui, au grand mérite d'être l'homme de confiance du juif Worms joint celui d'être polytechnicien.
Polytechnicien ! Quel mérite pour le grand public ! Généralement on connaît très peu cette École Polytechnique, sorte de société secrète qui ne s'extériorise que par ses beaux défilés du 14 juillet ou par les récits romanesques d'une "littérature bourgeoise" qui marie le polytechnicien à la fille de son patron, maître de forges... Ceux qui approchent davantage les X, les travailleurs de l'industrie ou du bâtiment, ceux qui ont fait la guerre dans les armes où ils servaient ont appris à mieux les connaître. Ils savent que c'est l'ingénieur touche à tout, prétentieux, qui, en aucune manière ne voudrait les consulter. Un diplôme, n'est-ce pas la ratification de la science infuse ! 1940 fut l'apothéose de l'École. Mais la défaite fut si rapide que nous n'avons pas encore vu l'École se dresser comme à l'habitude, en bloc, pour se glorifier et accabler tous ceux qui ne sont pas des siens, aussi bien les chefs que les soldats, de qui vient tout le mal. Les polytechniciens composaient les cadres des ministères à l'allure technique, ce qui paraît d'ailleurs partiellement normal, mais ils encombraient aussi tous les autres ! A leur sortie de l'École, ils "prêtent serment" de s'aider envers et contre tous ; aussi dès que l'un d'eux a pu s'infiltrer quelque part, immédiatement un, deux, trois autres le suivent, non pas parce qu'ils ont une aptitude particulière à l'emploi en question mais simplement parce qu'ils sont ses "camarades" et que de ce fait, ils doivent se favoriser exclusivement les uns les autres. Leur dernier assaut de ministère a été livré à celui de l'Air dont tous ceux qui ont pris une part active à cette dernière guerre se souviennent de l'incurie. Nous n'avions pas d'avions ! et pourtant que de polytechniciens au cabinet du ministre, à la direction du contrôle des constructions aériennes, aux services des marchés (si fructueux pour certains), à l'état-major. Ces hauts fonctionnaires appartenant aux ministères les plus divers n'ont compris ni la défaite, ni l'abîme où la France était tombée, grâce à eux, pourrions-nous dire et à leurs patrons. Ils entrent facilement dans les services commerciaux. Pas doués plus spécialement pour ce genre de travail que pour un autre, ils s'y font cependant une large place car ils y rendent de très grands services en ouvrant toutes les portes aux trusts auxquels ils appartiennent. Devenu domestique de la haute finance, le polytechnicien aime à se faufiler dans les Banques et Sociétés de Crédit. On en comptait avant-guerre 11 à la Banque de France, 12 à la Société Générale etc. etc. Soit un total respectable de 152. D'autre part, 96 appartenaient aux diverses affaires d'assurance et de capitalisation. Ainsi, tous les leviers de commande leur appartiennent et rien ne saurait leur résister. C'est la franc-maçonnerie dans toute sa splendeur pratique. La haute finance internationale qui le sert si facilement de ces bons et fidèles serviteurs n'hésite pas à diriger ses fils vers cette École et c'est ainsi qu'en feuilletant un annuaire on trouve seulement pour les 3 premières lettres de l'alphabet 68 juifs. Et dans l'ensemble, quelle pléiade de noms à consonances évocatrices : Abraham, Brunschwig, Bernheim, Moch, Lazard, Ruth, Ulmo. On trouve 8 Blum, 12 Bloch, 9 Cahen, 29 Lévy 16 Weil... Si la solidarité des juifs entre eux représente un réel danger pour l'économie nationale, lorsqu'elle est doublée de la camaraderie polytechnicienne, elle devient une catastrophe en puissance pour la France. Allons, puisqu'on nous parle d'ordre nouveau, de France propre et belle, n'essayons pas de reconstruire avec tous ces matériaux de démolition. Il n'y a plus rien à récupérer là-dedans. Faisons notre révolution sur l'exemple de nos voisins. Le génie n'est pas d'essence polytechnicienne : il peut appartenir à des hommes d'origine plus modeste. Il ne faut plus qu'on repousse qui que ce soit, simplement parce qu'il n'est pas camarade d'école. Le diplôme est un parchemin qui ne prouve aucunement que son possesseur doive avoir place automatiquement aux leviers de commande de l'économie du pays et qu'il ait droit à toutes les prébendes que donnait si généreusement la IIIe République. Polytechniciens, ne vous dites plus pompeusement les premiers du monde ; n'ayez plus le sentiment d'appartenir à une caste supérieure, inaccessible aux autres. De jeunes hommes dans la nouvelle Europe ont bousculé votre édifice sans la moindre difficulté. Que Polytechnique se débarrasse de l'esprit juif et maçonnique qui l'a conquise ! Qu'elle cesse de servir la finance internationale. Qu'elle redevienne la grande école qu'elle fut... avant Dreyfus et Lebrun. Ces deux derniers noms symbolisent nos désastres, ils illustrent deux axiomes anti-français : Juiverie et Bêtise solennelle.

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